mercredi 23 juillet 2014

18 rue du Parc (roman)

Bientôt, mon prochain roman 18 rue du Parc paraîtra aux
Editions Il est des jours...


Les habitants du 18 rue du Parc empêcheront-ils la destruction de leur maison, la dernière du quartier ?

Parmi eux, un policier aux lunettes noires, une pâtissière dans son salon de thé, une vieille dame égarée, un peintre envouté par une toile, une infirmière « médicamante », un bibliothécaire épris de femmes ailées, un homme posté devant un hôtel, un autre en liberté conditionnelle, une mère cherchant ses enfants, un enfant s’exprimant par synonymes, un faux-muet, un médecin, un inconnu. Différents destins confrontés à la perte et ses conséquences.

samedi 23 juillet 2011

les mères qui meurent sont-elles des mères comme les autres ? (roman)


Ce roman est lauréat du prix de littérature de Flayosc

Les mères qui meurent sont-elles des mères comme les autres ?
On a beau jeu de rappeler que tout est éphémère.
Mais on oublie les dieux, les acteurs de cinéma
et les mères…
La question essentielle, sur laquelle butent penseurs et philosophes depuis que le monde est monde, subsiste, intemporelle et absolue,
extravagante et dérangeante :
au contraire de l’éphémère, l’effet-mère est-il éternel ?


Joseph Paradis vit ordinairement sa vie par procuration à travers le cinéma.
À la mort de sa mère, il ressent d’abord de l’irritation (il déteste que les choses changent) avant d’éprouver une douleur aussi surprenante qu’inconsolable.
Avec la complicité de ses amis – Clara, apprentie thanatopractrice, Dédé, livreur de surgelés, et Flore, qui accepte, pour l’occasion, de suspendre ses tentatives quotidiennes et désespérément vouées à l’échec de se noyer dans sa cabine de douche – il décide de conserver le corps de sa mère dans son appartement à l’intérieur d’un congélateur, comme cela pourrait se produire dans un film.

C’est l’avantage du cinéma sur la vraie vie : les morts restent vivants…

Editions du Lau

samedi 9 janvier 2010

le coq de Chlomo (contes)


Chlomo Benkolhaï est gardien de cimetière, de par la grâce de Dieu.
En hébreu, cimetière se dit Beit-Ahaïm (maison des vivants). Chlomo est donc installé entre deux mondes, passant de l’un à l’autre en toute simplicité, mais confronté aux problèmes propres à chacun.
Ainsi on le suivra dans différentes péripéties le confrontant à des personnages comme Rabi Marorzé, Mosché Kacherout ou Madame Tfinah…
Respectueux des lois, on le verra appliquer à la lettre le sort réservé au coq dans les prières du matin, tout en appréciant la conscience professionnelle dont il fait preuve dans la préparation de la dernière demeure (?) de ses concitoyens.
On l’accompagnera dans son travail quotidien qui lui permettra d’offrir une sépulture aux enfants des camps de la mort, mais aussi à un livre mystérieux écrit dans le désert.
Comme il se doit la mère de Chlomo fera une apparition. Quant à son père... un homme inconnu arriva un jour au cimetière.

Editions du Lau

vendredi 8 janvier 2010

dieu aime-t-il les petits cochons ? (roman)

A Tunis, dans les années 50, dans une petite rue, vit Simon. Il cherche la preuve que Dieu aime les petits cochons, alors que sa mère s’apprête à accoucher. Près de lui, un vieil homme, Baba-Gagou, cherche à comprendre comment Dieu a pu oublier le Commandement le plus important sur les Tables de la Loi.
Tout autour, la vie se déroule entre religion et superstition, rêve et réalité, peur et déni, parmi les esprits maléfiques et les amulettes porte-bonheur.
Qu’est-ce qui rapproche l’enfant et le vieil homme au point que leurs imaginaires finiront par s’entremêler au cours de leurs quêtes ?
Quel lien peut-il y avoir entre le Commandement oublié et les petits cochons ?
Quelle place tiennent les enfants dans le monde des adultes, et dans celui de Dieu ?
Dieu aime-t-il les petits cochons ?
Editions du Lau